L’école est une société en soi dont les règles et les enjeux échappent souvent aux parents, aux équipes pédagogiques…bref, aux Adultes qui, forcément « ne peuvent vraiment pas comprendre !!!» ; Et ce malgré leur expérience et leur bienveillance.

Quand les difficultés rencontrées par nos enfants, se transforment en problèmes, nous assistons impuissants à l’apparition de phobies, de décrochages scolaires, de souffrances exprimées, ou pires, muettes.

Quelle réaction avoir ?

Que mettre en place pour les aider ?

Les rassurer ? Intervenir à leur place ?…

Très souvent, nos interventions, parfaitement logiques et de bon sens, portées par notre instinct de protection et d’amour, amplifient et aggravent la situation.

Alors quoi ? On les laisse tomber !!!

 La thérapie brève selon le modèle de Palo Alto, grâce à des actions concrètes et pragmatiques, est à même d’outiller nos enfants afin qu’ils deviennent acteur du changement et qu’ils retrouvent confiance en leurs propres ressources.

Il est possible de les aider à devenir de véritables petits guerriers défensifs.

On se positionne à côté d’eux et non entre eux et le monde qui les attends.

C’est un apprentissage durable !

Et pour les enseignants ?

Le champ d’application de la thérapie brève concerne également les enseignants et les professionnels de l’enfance.

Ces derniers sont de plus en plus confrontés à des situations litigieuses, conflictuelles, avec les enfants, les parents, leurs collègues ou leurs hiérarchies.

Ces situations sont vécues comme de véritables échecs personnels et professionnels, elles sont anxiogènes et douloureuses.

« Je n’arrive pas ou plus à me faire respecter », « on critique mon travail en permanence », « je n’arrive plus à enseigner, j’ai perdu la flamme », « il est impossible de suivre le programme dans de telles conditions ! »…

La thérapie brève est à même de vous aider par l’apport de prescriptions comportementales et de solutions alternatives, très souvent à l’inverse de toutes les tentatives de solution que vous aviez logiquement mises en place. Le fameux 180 degrés.

La 1ere séance se fait toujours sans la présence de l’enfant ou de l’adolescent ; les raisons vous en seront expliquées lors du 1^er rendez-vous.

Après évaluation de la situation et de la stratégie thérapeutique adéquate, je propose ou non, de rencontrer votre enfant.

Et si bien évidemment, il en fait, lui aussi, expressément la demande.